Les 3 remèdes « anti-culpabilité »

Vous avez tendance à culpabiliser ? Tendance à penser que ce que vous faites n’est jamais « assez » ?

Préparez-vous à ouvrir les yeux sur vous-même et à changer de regard sur ce que vous faites …

Pourquoi nous culpabilisons ?

La culpabilité est une forme de non acceptation de ce que nous faisons, de ce que nous ne faisons pas ou de ce que nous ne parvenons pas à faire.

Nous nous plaçons alors dans une projection négative de nous-mêmes qui nous renvoie à notre propre échec. Nous mettons le focus sur « ce qui ne va pas ».

Cette loupe sur « ce qui ne va pas », souvent, nous la plaçons toute seule sur notre vie par le biais des jugements négatifs que nous avons tendance à nous porter. Cela peut refléter un manque d’amour de soi-même.

Mais cela peut aussi venir des autres. Lorsque l’entourage nous fait des remarques par exemple.

La culpabilité c’est une forme d’auto-réprimande qui revient en quelque sorte à se gronder.

En réalité, ce qui peut tout changer dans de tels moments c’est justement de mettre la loupe sur ce qui a fonctionné, sur ce qui a marché, sur les efforts qui ont été faits.

Une perception positive de ce que l’on fait a le pouvoir de nous élever, de nous faire grandir. Grâce à cette perception positive nous pouvons croire en nous, en notre pouvoir personnel, en ce que nous sommes capables de faire pour soi-même et pour les autres.

La plupart du temps, nous avons les yeux fermés sur notre pouvoir parce que nous ne savons pas comment nous engager dans cette démarche.

En réalité le vrai problème ne se situe pas dans ce que nous faisons « mal » parce qu’en réalité ce sentiment n’existe qu’à travers la perception que nous avons du « bien ».

Le bien et le mal sont des jugements moraux, personnels, qui sont souvent liés à notre éducation et à tout ce que nous avons reçu à travers notre héritage culturel.

Voici 3 remèdes simples et anti-culpabilité pour s’aider à grandir et se développer :

 

1. Ne pas se comparer aux autres

 

Est-ce que les autres incarnent ce à quoi j’aspire ? Est-ce que la vie des autres est celle que j’aimerais avoir ?

La perfection et la vie idéale n’existent pas. Chacun de nos choix implique un renoncement.

C’est lorsque nous nous comparons, que nous pouvons avoir des pensées comme: « je ne suis pas capable », « je suis nulle », « les autres font mieux que moi ».

L’envie et la jalousie ne sont pas loin. La rancœur non plus…

Mes ces sentiments accaparent nos pensées et donc notre temps et notre énergie.

Se comparer aux autres c’est refuser d’accepter ou d’assumer qui nous sommes, les choix que nous avons faits, ceux que nous faisons, ce que nous aimons et ce pourquoi on est vraiment fait.

 

2. Faire des choses simples

 

N’attendons pas que les choses soient parfaites pour les entreprendre.

Les choses simples sont tout aussi efficaces.

Il faut cesser de chercher à mettre la barre plus haut en permanence.

Au contraire, plus nous inscrirons notre rythme dans une dynamique de passer à l’action régulièrement plus nous enclencherons le cercle vertueux du « je suis capable ». Et c’est ainsi que notre confiance et notre courage se développeront durablement en nous.

 

3. Avoir de la gratitude

 

Apprécier et désirer profondément ce que nous avons déjà nous permet de reprendre conscience de nos vies.

Nous envions trop souvent ce que nous n’avons pas et nous en oublions de porter de l’attention et du désir à ce que nous avons autour de nous.

Il est fondamental de changer de point de vue : au lieu de se concentrer sur ce que nous faisons de mal, reconnaissons ce que nous faisons de bien.

En éprouvant de la gratitude pour les choses que nous réalisons, nous portons un regard positif sur nous-mêmes. C’est un moyen efficace de développer sa confiance en soi.

Conclusion

 

La culpabilité ne sert à rien. C’est un exercice quotidien de ne plus la ressentir, mais je vous invite vraiment à essayer d’appliquer ces trois concepts simples dès aujourd’hui dans votre quotidien.

« La simplicité est la sophistication suprême » – Léonard de Vinci

Mettez toujours un minimum d’effort pour un maximum de résultat.

C’est le principe du 20/80 que j’ai mis spécialement en place dans ma vie pour tirer de grands bénéfices à partir de petits efforts.

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