Apprentissage de la propreté
Apprentissage de la propreté

Comment un enfant apprend à être propre ?

Si votre enfant a entre 18 et 30 mois vous avez probablement entendu les remarques suivantes concernant son apprentissage de la propreté : « L’année prochaine il/elle va faire sa rentrée. Est-ce qu’il/elle est propre ? » ou encore « vous avez commencé à lui proposer le pot ».

C’est stressant vous ne trouvez pas ?

Que se soit de la part du milieu médical ou de l’entourage plus ou moins proche, vous allez commencer à entendre ces questions, sur la propreté de votre enfant, et vous allez voir qu’elles vont devenir de plus en plus récurrentes. Et pourtant, cela ne regarde que vous et votre enfant ! Dans la plupart des cas, il s’agit non pas de malveillance, mais plutôt de maladresses dues à un manque d’informations.

Nous avons étudié le sujet et nous allons vous faire découvrir :

  • Pourquoi votre enfant ne pourra pas être propre avant 2 ans ?
  • En quoi il est mauvais de vouloir rendre son enfant propre alors qu’il n’est pas encore prêt
  • La méthode naturelle pour apprendre à être propre

Ce que nous vous proposons dans cet article est le résultat de nos recherches à travers des blogs, des études scientifiques et des ouvrages tel que le fameux « L’éveil de votre enfant » de Chantal de Truchis.

Et pour aller plus loin, je vous propose un Atelier « L’Acquisition de la Continence »  que j’ai créé pour les parents qui ont des enfants de 18 mois et plus. Il s’adresse aux parents qui ont besoin que leur enfant soit continent de jour dans les prochaines semaines. Pour y accéder suivez le lien suivant : https://www.famille-epanouie.fr/atelier-continence

Pourquoi l’enfant ne peut être propre avant 2 ans ?

Pour faire ses besoins aux toilettes ou sur le pot, l’enfant doit maîtriser ses sphincters, c’est-à-dire les muscles en forme d’anneaux qui permettent l’ouverture et la fermeture de l’anus et de l’urètre. Ce contrôle n’est possible qu’à partir du moment où les terminaisons nerveuses de la moelle épinière sont efficientes. C’est en moyenne vers deux ans que l’enfant commence à acquérir cette capacité physiologique.

Nous avons vu que d’un point de vue physiologique, l’enfant ne pouvait être propre avant ses deux ans. Lorsque vous voulez commencer l’apprentissage de la propreté avec votre enfant, demandez-vous si votre enfant est prêt psychologiquement. Ce n’est pas rien pour un enfant de faire « caca » dans un pot. Il comprend, visuellement parlant, que quelque chose est sorti de son corps et cela peut l’inquiéter (comme s’il perdait quelque chose). Il faut éviter les remarques telles que « ça sent mauvais ! », « c’est sale ! » qui peuvent venir affecter l’image que l’enfant se renvoie de son corps. Je vous invite d’ailleurs à consulter notre article les douces violences.

Les conséquences d’un apprentissage de la propreté trop précoce

Une étude américaine publiée sur le site Science Daily montre que les enfants qui commencent l’apprentissage de la propreté avant leur deux ans auraient trois fois plus de risques de développer de l’incontinence urinaire. Cela s’explique par le fait que la vessie est un organe qui continue de grandir jusqu’aux deux ans de l’enfant et le fait de se retenir provoque des contractions de la vessie pouvant entraîner un dysfonctionnement. Au contraire, le fait de pouvoir uriner dès que l’envie s’en présente (donc dans une couche) favoriserait son bon développement.

Cette même étude nous apprend que les enfants ayant été soumis à un apprentissage de la propreté trop précoce seraient également plus sujet à la constipation du fait qu’ils se retiennent d’aller sur le pot.

Cette étude parle des conséquences physiologiques, mais n’oublions pas les conséquences psychologiques pour l’enfant. Françoise Dolto à évoqué dans son livre « La difficulté de vivre », les conséquences de l’apprentissage de la propreté lorsqu’il était réalisé trop tôt, et dès fois par des parents se montrant un peu trop exigeants :

L’enfant ainsi contrarié, dérythmé, […] ne saura jamais ce qu’il veut faire : c’est maman qui savait tout pour le caca et le pipi […], et c’est malheureusement une métaphore de cet état qui se réalisera ensuite avec les mains, avec le corps, avec l’intelligence, pendant toute sa vie. Il aura toujours besoin d’une loi extérieure, d’appels et d’injonctions extérieures, pour lui dire ce qu’il doit faire. Car il a commencé dans la vie par ne rien savoir de lui-même: c’est sa mère qui savait pour lui.

La méthode naturelle pour apprendre à être propre

L’enfant est capable d’apprendre à être propre de manière autonome et en suivant son propre rythme. Le bébé apprend beaucoup par lui-même, notamment par mimétisme. N’a-t-il pas appris à marcher ? À manger ? À parler ? Vous n’avez pas été moteur de ces apprentissages, il devrait en être de même pour celui de la propreté.

Cependant, étant donné que l’école impose aux enfants d’être propre pour l’entrée en petite section de maternelle, soit environ aux trois ans de l’enfant. Il peut s’avérer que le rythme de l’enfant soit légèrement bousculé. Nous vous proposons donc une méthode d’accompagnement juste et bienveillante pour « apprendre » à votre enfant à faire ses besoins dans un pot ou aux toilettes.

– La sensation d’avoir des selles dans la couche : Lorsque votre enfant vous dit qu’il a fait pipi ou caca dans sa couche cela veut dire qu’il a pris conscience de la sensation d’avoir fait ses besoins. C’est un très bon point de départ pour lui. Car c’est à partir de ces sensations que la suite va découler.

– Le mimétisme : Laisser votre enfant vous regarder lorsque vous êtes aux toilettes. N’oubliez pas que c’est un acte naturel. En tant qu’adulte, nous avons mis de la pudeur et de l’intimité à faire nos besoins, mais pour l’enfant cela reste un acte banal. Expliquez-lui votre envie d’aller aux toilettes et le côté naturel de la chose, la nécessité de vous essuyer et le fait de tirer la chasse d’eau. Vous pouvez même laisser votre enfant tirer la chasse d’eau lui-même.

Les deux points ci-dessous ont pour but de démocratiser le fait d’aller aux toilettes ou sur le pot, le fait d’en parler rassure l’enfant. Donnez-lui ensuite le temps de traiter l’information pour que par la suite il reproduise cette action.

Laissez la possibilité à votre enfant de faire ses besoins à tout moment et de façon autonome. Que vous ayez opté pour un pot (le plus simple étant l’idéal. Il faut évitez le pot musical ou avec des jouets qui s’avère être inapproprié) ou pour un réducteur de toilette, votre enfant doit pouvoir venir faire ses besoins au moment qui lui semble opportun. Il ne faut jamais décider de ce moment à la place de l’enfant. Les toilettes doivent donc être accessibles et l’enfant doit pouvoir se déshabiller seul.

Votre enfant va commencer par se montrer capable de se retenir pour aller faire ses besoins aux toilettes. Peut-être vous demandera-t-il de l’aide dans un premier temps pour enlever son pantalon, s’essuyer… Répondez toujours favorablement à ces sollicitations, le parent doit faciliter l’apprentissage de l’enfant et non pas lui mettre des barrières.

Par la suite, il va se montrer prêt à aller aux toilettes lui-même et faire ses besoins de manière complètement autonome.

Cet apprentissage prend environ une année à l’enfant (généralement entre deux et trois ans). Ne soyez pas inquiet(e) si votre enfant n’est pas tout à fait propre à trois ans, cela arrivera de toute façon à un moment ou un autre. Mettre une pression à l’enfant ne pourra avoir un effet que néfaste sur la construction de son propre développement. Chaque enfant à son rythme propre, l’écouter et le respecter sont les meilleures choses à faire pour que l’enfant se développe en toute confiance et dans un climat de sérénité.

Faut-il récompenser son enfant dans son apprentissage de la propreté ?

Pour encourager les progrès de son enfant, bon nombre de parents aiment le féliciter et le récompenser. Il s’agit là d’avoir un dosage adapté à la situation. Votre enfant apprend à être propre pour son propre intérêt à lui. Il ne s’agit en aucun cas d’une compétition avec le fils de la voisine ou de réussir à être propre pour le 5 septembre, date de la rentrée.
L’enfant doit donc être le principal artisan de sa propre réussite. Il doit ainsi apprendre par plaisir et pour lui-même et non pas pour avoir le droit à un chocolat ou à une sorte de diplôme « Je suis une princesse Disney du pot« . Voici ce que nous avons trouvé sur le site apprentissagedelapropreté.fr :

 

diplôme disney apprentissage de la propreté Dipleme Disney apprendre à être propre

Ce site est administré les couches Huggies, donc c’est à se demander s’ils ne font pas tout pour vendre des couches plus longtemps. Bref, quoi qu’il en soit, retenez que votre enfant apprend pour lui. Il voudra tôt ou tard faire comme papa et maman et allez aux toilettes comme un grand.
Vous pouvez bien entendu le féliciter au cours de son apprentissage, mais veillez surtout à ne pas trop en faire. Ayez bien à l’esprit qu’il n’apprend pas pour vous faire plaisir. Et bien évidemment, inutile de le punir ou le sanctionner s’il fait des erreurs. Cela lui ferait perdre sa confiance en vous et en lui-même et retarderait le bon déroulement de son apprentissage.

Et vous, comment gérez-vous l’apprentissage de la propreté ?

 

Pour approfondir ce sujet, vous aider à adopter la bonne posture et comprendre la psychologie de votre enfant pour l’accompagner dans cet apprentissage à retirer sa couche toute la journée et qu’il demande par lui-même à aller aux toilettes. Je vous invite à découvrir l’atelier que j’ai créé en cliquant sur le lien suivant : L’acquisition de la continence.

 

Amélie

About Amelie Blot

Je me rappelle étant petite que je disais à ma maman : "quand je serai grande je ne punirai pas mes enfants !". Les années ont passé, je suis devenue maman et ce principe qui "était" en moi est plus fort que jamais. Je me forme au quotidien, à travers mes lectures enrichissantes et auprès de mon petit Arthur, à une méthode d'éducation respectueuse et bienveillante. J'espère pouvoir vous transmettre le goût de vivre la fabuleuse aventure de la parentalité tout en préservant l'épanouissement familiale si nécessaire au bonheur.

25 25 commentaires

  1. Coucou, j’ai lu un peu les commentaires sur facebook suite à cet article et j’aimerais juste donner mon avis sur trois points en particulier (t’es prête ? ça va être long lol) :

    1/ le premier, c’est que pour que L’HNI fonctionne, il faut la pratiquer dès la naissance ou dans les premiers mois de l’enfant. Une fois qu’il s’est accommodé aux couches, il ne voit plus l’intérêt de devenir propre tout de suite. En tous cas c’est ce que j’en ai compris en discutant avec des parents qui pratiquent l’HNI.

    2/ le deuxième point, c’est que à cause de l’HNI qui fonctionne (je ne l’ai pas pratiquée moi même, mais je l’ai vu), ça remet quand même pas mal en cause le fait que les sphincters doivent être assez musclés pour que l’enfant soit propre. J’y croyais avant. Je n’y crois plus trop. J’ai entendu (à vérifier bien sûr) que cette découverte des sphincters qui doivent être musclés a été introduite par Pampers… Ce qui ne m’étonnerait pas tellement, mais bon, à défaut d’avoir trouvé la preuve, je ne peux que te dire que c’est ce que j’ai entendu.
    On m’avait dit aussi qu’un signe qui prouve que les sphincters sont musclés, c’est que l’enfant ne peut pas être propre avant de savoir monter les marches d’escaliers sans problème. Ma fille est le contre exemple parfait. Elle pouvait monter une marche ou deux, mais sinon il fallait qu’elle se tienne tout le temps. Et ça ne l’a pas empêchée d’être propre jour ET nuit en 1 semaine.

    3/ Enfin, y a juste un point concernant ton approche à toi avec lequel je ne suis pas trop d’accord : que l’enfant voit ses parents aux toilettes. Alors je suis de nature pudique, mais je suis aussi pour l’approche suivante : je pense que les enfants n’ont pas à voir la nudité de leurs parents, qui est du domaine de l’intime, du privé. J’apprends à ma fille qu’il n’y a qu’une seule personne (en dehors du médecin si besoin) qui a le droit de me voir nue, et c’est son père. Je lui dis aussi que personne n’a le droit de lui demander à la voire toute nue, à part quand un adulte (de confiance) lui donne sa douche ou l’aide aux toilettes, le temps qu’elle sache faire toute seule. Bien sûr, un enfant fait par mimétisme, mais je pense qu’il peut prendre exemple sur d’autres enfants, ou simplement accepter l’idée que ça marche comme ça : « moi aussi je m’assois pour faire pipi, moi aussi je m’essuie, moi aussi je me lave les mains. Et papa aussi… » Ma fille n’a pas besoin de me voir prendre ma douche pour faire pareil. Elle apprend juste, parce qu’elle a confiance, à faire par elle même des gestes que je fais avec elle au quotidien.

    Voilà, j’avais envie de te donner mon avis :-) Sinon, je suis entièrement d’accord avec le fait que tout doit être naturel, partir d’un désir de l’enfant. Voilou, j’espère ne pas t’avoir embêtée avec mon commentaire ultra long :-)

    • Salut Anne-Estelle, Merci pour ton commentaire. Je l’ai trouvé très intéressant. C’est vrai que pratiquer l’HNI vers les 1 an d’Arthur était probablement trop tard, mais bon comme je l’ai dit nous n’avions pas l’organisation adaptée à cette pratique. Je pense que sa mise en place demande une disponibilité énorme. C’est un sujet qu’il pourra être intéressant d’étudier en vu d’un prochain article ;-)
      Sinon par rapport à la pudeur, j’ai envie de dire que c’est une affaire propre à chaque famille. Chez nous c’est assez naturel en fait (on n’est pas non plus exhibitionniste attention !) mais bon si on sort de la douche et qu’Arthur rentre dans la salle de bain, on ne s’enroule pas en précipitation dans la serviette. Il a même déjà remarqué la différence de sexe entre moi et Fabien et nous en avons profité pour lui expliquer que toutes les filles étaient faites comme maman et que tous les garçons étaient fait comme papa. De même que si Arthur ouvre la porte des toilettes alors que nous y sommes, nous lui expliquons ce que nous y faisons. Après nous ne laissons pas la porte ouverte de manière à l’inciter à venir ! ;-) Je dois bien avouer qu’après avoir vécu une première grossesse, je suis devenue beaucoup moins pudique ! Je pense que beaucoup de femmes comprendront mon propos :-) !
      A très bientôt,
      Amélie

      • Bonjour,

        Le mimétisme me paraît quand même un bon moyen d’apprentissage.
        J’ai toujours laissé la porte des wc ouverte. Je ne pense pas que la question de l’intimité se pose dans ce cas précis.
        C’est comme la bouche : quand je mange je remplis mon estomac, c’est une activité naturelle, mais en dehors de cette activité ma bouche est une partie de mon corps qui m’appartient, qui est chargée de sens (la parole, les baisers…) et qui doit être respectée / quand je fais mes besoins je vide ma vessie ou mes intestins, c’est de même. En dehors de cette activité, mon entre-jambe est une partie de mon corps qui m’appartient et qui est chargée de sens aussi. A chaque temps, son intimité, sa pudeur… et je ne crois pas qu’elle ait de sens ici. Enfin je pense.

        Tout ça pour dire que quand ma fille (de 18mois aujourd’hui) me regardait, je lui expliquais ce que je faisais : « Je fais pipi, je m’essuie, je tire la chasse, je me lave les mains ». Cela a suscité un intérêt pour elle. C’était une activité comme une autre au foyer.
        Un jour, à 16 mois, d’elle-même elle m’a demandé d’y aller (en montrant la cuvette et en tirant sur sa couche). Je l’y ai mise et elle était ravie. J’ai même fait le rituel essuyage, chasse d’eau, lavage de main. Nous avons fait cela à chaque fois qu’elle nous le demandait (nous avons acheté un réducteur aussi).

        Aujourd’hui, nous la mettons toujours à la demande, elle a fait 3 fois depuis. A chaque fois, nous lui disons que c’est bien (sans trop exagérer non plus) et je pense que c’est une méthode très naturelle, sans contrainte.

        Merci pour les « diplômes » ridicules dénichés sur Internet, c’est une perle! Je vais l’envoyer au magazine Causette!

        A bientôt

  2. Bonjour,

    Ma fille va avoir 2 ans dans quelques jours et est en plein apprentissage d’aller aux toilettes. elle enlève tout le temps le scratch de sa couche et j’ai pris ça pour un signe qu’elle ne veut plus en porter, et j’espère que je ne me suis pas gourée de message. Pour éviter qu’elle fasse pipi ou caca sur le sol, je lui ai proposé si elle voulait aux toilettes et elle m’a suivi. Elle s’est assise et a fait caca. Son seul exigence, avoir de quoi bouquiner pendant qu’elle fait son affaire. Bref, comme papa et maman quoi.

    La fonction des toilettes, elle savait déjà puisqu’on lui dit qu’on va aux toilettes et que je ne ferme pas la porte pour les au cas où.

    On lui a acheté un réducteur de toilettes avec marche, pour qu’elle soit plus autonome et un pot. D’ailleurs, mon mari n’a pas compris pourquoi j’ai acheté les deux. et je lui ai répondu pour qu’elle fasse le choix où elle serait plus à l’aise. ça l’a fait rigolé mais il a compris ma démarche.

    maintenant, ma fille va aux toilettes dès qu’elle a envie, la couche je ne lui en mets que pour dormir. Mais, évidemment, il y a toujours un mais, elle n’arrive pas encore à comprendre qu’il faut enlever la culotte avant de s’asseoir sur le trône.

    Les accidents, y en a et y en aura encore mais on a investi dans une trentaine de culottes, on est en été donc la lessive sèche vite. ^^ Après quelques jours de pipi culottes sans arrêt, elle arrive à peu près à détecter les envies d’aller faire pipi et court vite aux toilettes.

  3. Bonjour, Je suis entièrement d’accord avec le fait de relativiser l’âge de la propreté. Cependant cela va pour moi dans les deux sens. Un enfant propre à 18 mois n’a pas nécessairement été forcé. Cela peut venir de lui et ça arrive fréquemment lorsqu’on est à l’écoute de son enfant. Je trouve les mise en garde sur le « trop tôt » réductrices et non appropriées. J’ai eu l’expérience de mon aîné qui est venu de lui-même avec le démarrage et mon second commence également (20 mois et ne marche pas encore). Il me semble bon d’insister plutôt sur la nécessité d’être à l' »écoute de l’enfant, d’aller dans son sens, de voir les signes, …

  4. Bon et bien le papa dit non … Le HNI ou ne pas mettre de couche tout simplement cela fonctionne, clovis a 13 mois j ai commencé a 6 mois … ( ma femme médecin me disait c est trop tôt, l histoire des sphincters, etc … je pense que le loby des couches aurait tout intérêt a ne pas faire de la pub a l HNI ;)
    au final c est juste une volonté d observer notre bébé et de ramasser lors des loupés.
    j adore l idee pour mon bebe qui n a pas de park pas de trotteur, euuuu pas de jouets, pas de, pas pas pas … il a un papa et une maman …

  5. Bonjour

    Pour l’HNI je ne sais pas, je pense que je n’aurais pas eu la patience. Et je trouve que si on se loupe, c’est pas cool pour le petit d’être mouillé peut être plus souvent (même si les couches n’empêche pas non plus les accidents)

    Par contre je suis en phase avec ta façon de faire.

    Et surtout je suis sûre que les enfants ont conscience très tôt de faire leur besoin : quand ils font caca ils sont concentré quand même depuis le début. Si on met des mots dessus je pense qu’ils en prennent conscience vite. Le mien aux alentours d’un an venait me voir en pleurant pour me dire qu’il avait fait caca, je changeais sa couche de suite. Je n’ai rien forcé, juste acheté un pot pour qu’il y ait accès. Mais la vie fait qu’on est parfois plus ou moins attentif à notre enfant et donc il n’est pas propre encore…. Je pense que notre rythme de vie ou nos changements de rythme ne sont pas toujours propice à être attentif à 100% à nos enfants, sinon ils seraient propres bien plus tôt! Il y a aussi le fait que l’enfant à tant de choses à apprendre que cela passe peut être aux plans arrières lorsqu’il trouve un truc plus intéressant à développer (parole, rampage, retournage….) alors que la couche ne le gène pas trop, ils n’en font pas une priorité. Après le contrôle des sphincters c’est comme le reste : certains sont en avance ou en retard… enfin plutôt chacun son rythme certains parlent mieux qu’ils ne bougent ou l’inverse
    Chez moi la porte des toilettes a toujours été ouverte : je suis souvent seule avec lui, si je veux jeter un œil il n’y a pas trente six solutions… Pour lui (et moi ou mon mari) ce sont des choses naturelles et on peut être relativement pudique avec un loulou qui nous scrute (je pense qu’il voit un peu mais je lui montre pas ce que je fais : je suis assise, il me coupe le papier, par contre je lui dis ‘non je vais faire’ quand il veut m’essuyer :), il veut rendre service mais il y a des limites!).
    Il va avoir 2.5 ans et commence à demander régulièrement le pot, mais ce n’est pas systématique. Il est fier d’y aller, fier de parfois mettre un slip sur sa couche (comme papa ou pépé), content, parfois il enlève sa couche/body tout seul et s’assoit quelques minutes sans rien faire… Bref, ça vient normalement, en temps et en heure (la sienne) … Mais surtout ce n’est pas un moyen de pression de notre part ou de la sienne… C’est quelque chose qu’il « apprend » et on enlèvera les couches quand il sera prêt. En ce moment il veut scruter ses couches pour voir ses cacas….
    Et ma mère qui est nounou a eu une formation avec une psy qui disait qu’un enfant non propre jusque 6 ans, c’était pas inquiétant (si il n’y a pas de troubles médicaux). Avant 6 ans, il faut vérifier que rien ne pose soucis, mais sinon rien de grave, et que (en réponse à des questions) l’école n’est obligatoire qu’à partir de six ans ;) et ça ça tombe bien!

  6. Bonjour ma fille a 19 mois moi et mon compagnon on la mais au ou au toilette ce lon elle avec des joué. mais ma belle ne la mais part car j’ai deux de trois maintenant elle son pas propre donc je trouve ridicule de privé ma fille de par dit être se un sujet de discussion et quand on la récupérer elle veut plus tout de la journée donc pour par la bloqué elle va plus la bas ! Et veut plus mettre se couche mais can on va se promener se pas facile comment faire ? Pour par la bloqué

  7. Ma fille de 12 mois m a montré le pot. Je l’y ai mise et elle a fait. Elle a compris l’utilité du pot car elle fait pipi et caca dedans en restant assise pas plus de 30 secondes. Parfois elle fait et parfois non (1 fois sur 2) c’est vrai que je n’attend plus que ce soit elle qui me le demande mais je me demande s’il est bon pour elle de continuer ou bien je dois la laissé me le demander car elle ne sait pas s y installer seule. Je précise que je la trouve extrêmement éveillée elle dit déjà une dizaine de mots mais ne marche pas encore. elle imite son frère je pense mais je n’ai pas envie de lui faire perdre confiance en elle.

    • Si c’est elle qui le demande et que vous y répondez, elle ne perdra pas confiance en elle, ni en vous. Bien au contraire. « Je sens que j’ai besoin de faire pipi, je le dis à Maman, qui me propose le pot, je fais pipi, youpi, parfois je crois que j’ai besoin et en fait non, mais j’ai demandé et Maman elle m’a fait confiance, elle m’a cru, c’est chouette »

  8. Ma fille a 2ans 1/3, elle a commencé à demander une culotte en juillet, je lui ai donc mise y compris pour la crèche et malgré le fait qu’ils soient pas trop d’accord si elle n’est pas propre (et comment elle apprend, elle est chez eux plus souvent que chez moi, je vais pas lui apprendre juste le weekend… tsss).
    Depuis elle se loupe 1 à 3 fois/j, quand elle joue avec de l’eau (systématique), quand elle est très concentrée ou très occupée à jouer. Je lui rappelle à chaque fois que ça arrive avec moi : « Si tu as besoin de faire pipi, tu demandes ou tu vas sur le pot toute seule. Allez, viens finir ton pipi sur le pot, on enlève la culotte et le pantalon/short/jupe/robe. » Elle termine (ou non) son affaire, puis jette son pipi, tire la chasse si besoin, va mettre ses vêtements au sale et se lave les mains.

    Il n’y a qu’en vacances où j’ai eu du mal à accepter qu’on lui proposait le pot (sans insister, jamais) et que 2min après elle se faisait dessus, alors que le pot était là juste à côté…

    Bon à la crèche ils m’ont dit que des fois, dehors, au lieu de demander, elle enlève sa culotte et son short, écarte les jambes et se fait dessus… Elle a pris une mauvaise habitude à la plage je crois.

    Du coup, je lui propose systématiquement : avant la crèche, avant le dodo, avant de jouer avec l’eau. Elle décide et si elle y va et ne fait rien, c’pas grave. Le reste du temps, elle gère (plus ou moins bien).

    A 18 mois elle avait déjà eu une première tentative, mais elle a fait une pyélonéphrite à ce moment là et ça a stoppé tout, logique.

  9. mon fils a 3 ans ,il vient de rentrer en maternelle.Toujours pas propre.j’ai eu une réflexion de la directrice.Il faudrait qu’il aille seul aux toilettes,mais il n’a que 3 ans.Bon ca,il est pas en primaire.Arrêter de vouloir les faire grandir trop vite.Je sais plus quoi faire,je vais demandez la vie du Pédiatre,on verra bien.

  10. Bonjour.
    Ma fille va avoir 3ans 1/2 en mars, ça va faire 1 an qu’elle ne met plus de couches (le jour). Mais c’est un cata!! Sur 1 an, il y a eut que 15 jours nikel et là, je n’en peux plus!!
    J’ai essayé plusieurs choses (le tableau avec les gommettes, l’emmener au toilettes avant de manger après au gouter…, la responsabilisé en allant se laver et se changer seule…)
    Je fini par être en colère et lui dire des choses que je regrette (que je vais lui remettre des couches, qu’elle n’est plus un bébé…) et je n’ai vraiment pas envie de ça!!! C’est10 culottes par jours sans compter les pantalons…
    Est ce que quelqu’un peut m’aider svp je n’en peux plus!!!
    Merci

    • Bonjour,
      Mon fils de 3 ans refuse de quitter ses couches… Il ne veut pas entendre parler de pot, toilettes, car il m’explique qu’il ne veut pas aller à l’école. Septembre sera bientôt la, et je ne sais plus quoi faire. J’aimerais tellement que ça vienne naturellement, sans le forcer en le mettant tout nu dehors comme me le conseille mon entourage. Je trouve ça violent ! Pensez vous que consulter un psychologue pourrait apporter quelque chose à cette situation ? Je vous remercie pour vos conseils…
      Bonne journée
      Julie

  11. Parfois rien de tout ça ne fonctionne, je trouve tellement triste que la société et l’école impose un âge pour la propreté. Normalement notre fille commence l’école le 4 septembre, Normalement car à 34 mois elle n’est pas du tout dans l’acquisition de la propreté, peut confondre le caca et des flatulences, refusent souvent de changer cette couches (ce qui n’était pas plus jeune car elle nous le disait de suite, elle devait avoir vers 15-18 mois et allait même chercher la poubelle à couches), le pipi rare sont les fois où elle s’en ai rendu compte en dehors de tout bébé, d’une cystite, siège abîmé… Aujourd’hui à cause de ce qui est imposé par la société, ma puce qui rêve de rentrer à l’école, avoir des copains, est Malheureusement et mal car elle ne pourra pas y aller. De savoir que c’est une condition de l’école, la bloque complétement, de voir les autres de son âge l’être la fait se sentir mal. C’est la conversation du moment partout, le sujet avec elle va aller à l’école hein! C’est lassant et peut détruire un Enfant Malheureusement. Je n’aime pas cette société qui impose. nous avons pris pour son bien être le partie de ne plus en parler sauf si ça vient d’elle
    Bien sûr.

  12. Bonjour , moi mon fils va avoir 3 ans le mois prochain et il est propre pour le pipi la journée et pas tout a fait la nuit , il peut y avoir un accident mais je lui laisse la couche pour dormir pour l’instant mais pour ce qui est du caca , c’est une autre histoire . j’ai meme l’impression qu ‘il ne fait pas la différence car je lui demande de faire caca il va faire pipi et dit  » voila j’ai fini  » , j’ai beau lui dire que ce n’est pas le caca qu’il a fait mais je pense qu’il ne le comprend pas , donc tout de suite après je vais avoir le caca dans la culotte
    Le problème c’est qu’il est rentré à l’école cet année et qu’il y a eu au moins 2 accidents par semaine sachant que je l’avais mis sur le pot juste avant d’y aller , pour l’instant je n’ai pas trop de remarque mais c’est quand même très embarassant quand ça devient répétitif en plus , je ne sais plus quoi faire pour lui faire comprendre pour qu’il me fasse le caca que dans le pot , j’ai essayer déjà plein d’astuce parfois sous forme de jeu avec images , des autocollant a coller une fois qu’il a fait mais rien n’y fait

  13. Bonjour

    Mon fils viens juste d’avoir 18 mois et je voulais partager avec vous ce qui ce passe chez moi….

    Depuis 15 bon jours il pince sa couche par moment et à chaque fois c’est qu’il avait fait caca….nous avons décider d’attendre après les fêtes et de prendre le temps de voir si c’était vraiment sa….une fois de retour tranquille à la maison et que nous 3 nous avons décidé de le mettre sur le wc lorsqu’il nous le demanderait…et depuis on sa fait 4 jours et bien il fait toujours au wc…

    Pourquoi ne va t’il pas sur le pot?car il nous montre les wc et ne veut pas du pot…

    Par contre il a besoin d’aide pour enlever ces vêtements et sa couche…

    Moi je pense que la propreté peu se faire avant 2 ans si l’enfant est moteur et la décidé…

    • Bonjour,
      Je souhaite réagir au mythe sur la maturité des sphincters! Vous êtes vous déjà demandé comment font les habitants d’Afrique, d’Asie, et tous ceux qui n’ont pas de couches jetables et pas les moyens matériels de gérer les lavables? Ils pratiquent la HNI avec tant de naturel que ça n’a même pas de nom. L’enfant naît conscient de ses besoins d’élimination, il les signale, et contrôle ses sphincters aussi bien positivement (relâcher pour uriner/defequer) que négativement (se retenir). Un nouveau né a besoin de se muscler bien sûr, et il se retiendra moins longtemps qu’un petit de 12 ou 18 mois.
      Le gros problème en occident c’est que pampers a payé des pédiatres, dont le dr Brazelton, pour prouver que les sphincters ne sont pas mûrs avant assez tard, et en effet, chez pampers ils ont eux même reconnu que puisqu’il y a moins de naissances en occident, alors leurs clients doivent rester clients plus longtemps… et continuer à se souiller de caca jusqu’à tard en fzisabt croire aux parents qud c’est pour leur bien. Où est le respect de l’enfant quand on finance de telles études?? Sans compter le fléau que représentent leurs couches pour l’environnement, pour la planète de nos enfants, justement.
      Aujourd’hui des études d’ordre mondial montrent plusieurs choses intéressantes, a contre courant de la politique hégémonique de pampers :
      – un enfant de 12 mois en jetables a la vessie de la même taille qu’un nouveau-né,
      – les enfants naissent continents et deviennent incontinents en jetables hyper absorbantes (et c’est le même problème pour les personnes âgées d’ailleurs)
      – dans les pays a couches jetables, les medecins constatent une epidemie d’enuresie, que l on relke au port tardif de couches jetables. Un tour en supermarché et vous verrez qu’il existe des changes jetables taille 8-14 ans…
      – dans les pays a tradition de HNI, les enfants sont autonomes vers 12-18 mois (selon le mode de vie, le lieu d’élimination, la quantité de vêtements a retirer…), et ils sont propres la nuit avant le jour.

      Ne pensez vous pas que c’est le rôle du parent d’aider son enfant à ne pas/plus se mouiller et se souiller, de la même façon qu’on les aide à manger, à se laver, à dormir… etc? Et qu’il serait bien plus bienveillant de les aider aussi tôt que possible à rester sec et propre? Ne pensez vous pas que les erythemes sont complètement contre nature et devraient plutôt nous indiquer que les enfants ne dont pas faits pour porter des couches h24? Ne pensez vous pas qu’on peut offrir mieux à son enfant que de mariner dans ses déjections 24/7 pendant 2 à 3 ans??
      Je pratique la HNI avec ma fille depuis sa naissance pour les cacas, et a temps plein pour les pipis et cacas depuis ses 3 mois. Depuis ses 10 mois elle ne mouille plus sa couche de nuit. Elle ne porte pas de couches le jour à la maison et on a un, parfois deux accidents de pipi par jour. Elle signale ses besoins, et ne se relache que quand elle se sait au bon endroit (toute petite je lui disais pipiiiii pour qu’elle sache que l’endroit etait approprié, maintenant a 11 mois elle connaît bien le pot ). Tout cela pour dire qu’elle maîtrise très bien ses sphincters depuis toujours et que ces pseudo etudes scientifiques financées par Procter & Gamble sont fausses, archi fausses, en témoignent les expériences de dizaines de millions de mamans dans le monde tous les ans.

  14. Je ne dois pas être normale mais EN QUOI est-ce que emmener un « enfant aux toilettes,l’essuyer et l’habiller est « moins fastidieux » pour la maîtresse que de lui foutre la paix avec sa couche s’il en a encore besoin????Je n’ai jamais compris ce truc taré,ils ne font pas caca toutes les heures et s’il y a pipi dans la couche EN QUOI ça les regarde???Il y mieux à faire à l’école non?(enfin normalement..)C’est vraiment une société malade..

  15. @delveaux
    Car on ne va pas laisser un enfant dans sa couche sale toute la journée, donc oui, ce qu’il a fait dans sa couche les regarde, et changer des couches ni l’enseignante ni l’atsem n’a le droit, ni la place dans les locaux, ni le temps, de le faire.
    Par ailleurs pendant une grande partie de la journée, l’enseignante est seule avec jusqu’à 36 enfants de 3 ans (rappel, en crèche c’est 1 adulte pour 8 enfants, en école maternelle 1 pour 36)…

  16. Bonjour,
    Merci pour vos articles toujours intéressants et inspirants.
    Sur la propreté, un peu stressant l’histoire du cap des deux ans avant lequel on ne peut physiologiquement être propre. Mais tout à fait d’accord pour ne pas leur mettre la pression !
    Ma fille de 20 mois, qui ne parle pas du tout, s’est mise à se tenir la ceinture en râlant un peu. J’ai interprété ça comme l’envie d’aller faire pipi aux toilettes. Les couches étaient de plus en plus sèches mais c’était très irrégulier. Auparavant, il arrivait que je la laisse un peu les fesses à l’air après la sieste. Bien sûr il y a eu des accidents pour lesquels je n’ai pas fait de commentaires donc elle avait expérimenté le pipi qui coule le long des jambes.
    Au bout de 10 jours, ça commence à être quasi bon pour les pipi, pas du tout pour les selles. Mais si nous lui mettons une couche, elle ne la mouille pas.
    Bref, pour moi, l’attitude de ma fille m’a fait penser aux « périodes sensibles » (montessori je crois) qu’il faut encourager. J’aurais pu lui laisser les couches en me disant que c’était trop jeune, mais j’avais peur de repousser le moment de propreté d’une bonne année. Pour ma première fille, il m’a semblé reconnaître le même attrait pour le pot à peu près au même âge et j’y ai mis beaucoup moins d’énergie par peur des accidents, du pipi sur le tapis ou je ne sais quoi. Pour cette fois, j’ai des amies qui pratiquent le HNI et qui m’ont donné confiance et quelques astuces pour reconnaître les signes de l’envie d’aller aux toilettes.
    Je précise aussi que j’ai une minette très « motrice », du genre petit singe, galipettes, saut à pied joints et qui court toujours…
    Donc quid de cette histoire de sphincters ?

  17. Bonjour, actuellement mon fils a bientôt 3 ans. Nous le laissons « cul nu » et il va sans problèmes au pot.
    Dès que je lui mets un vêtement ou un slip, il se fait dessus. J’ai l’impression qu’il assimile ça à une couche.
    Auriez-vous des conseils? Je lui réexplique à chaque fois avant de mettre un slip, je lui montre le pot et le laisse dans la pièce où nous sommes, mais ça ne change rien pour l’instant.

  18. Bonjour Amelie et merci pour cet article.

    Mon fils aura 3 ans demain et n’a jamais été intéressé par la propreté, la pression extérieur et notamment dernière une grosse pression de la part de notre pédiatre ( il aurait du être propre il y a 6 mois, maintenant il faut que ça devienne son problème) m’ont fait perdre confiance et j’ai commencé a vraiment lui mettre la pression moi aussi, au point de le sermonner lorsque sa couche était mouillée, moi rde le menacer de ne pas pouvoir faire des choses de grand ( passer la tondeuse faire voler l’avion etc ).

    je faisait cela à contre coeur, et en même temps je n’ai pas réagit assez vite.
    Hier nous avons passé une très mauvaise journée et ça a été le déclic pour moi, je ne suivait plus mon instinct de maman et je répondait a ce que la société essayait de me dicter, je voudrais complètement faire « machine arrière » et revenir au début jusqu’à qu’il y montre de l’intérêt par lui même.

    Ceci dit je pense que nous avons provoqué un gros blocage, Théo nous assure qu’il n’a pas fait caca quand il a la couche pleine et se met en colère, aurais tu des pistes pour nous aider a verbaliser cela auprès de lui et lui redonner confiance pour que quand il se sente prêt il puisse y venir ?

    Belle journée à tous

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